Les aventures d'une femme ronde et soumise sexuelle

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il y a 1 an

Je ne suis pas bien dans ma peau alors j'ai pratiquement renoncé à toute relation durable. J'ai 43 ans, je ne suis pas mince mais pas énorme non plus. Je mesure 1m57 avec du 100D en poitrine. Communément je suis une petite boulotte.

Ne pensez pas que les hommes ne s'intéressent pas à moi. Mais je suis tellement fatiguée des relations non abouties que je reste seule.

Je ne suis pas du genre à coucher pour une seule nuit ou avoir des amis simplement sexuels. Je fais très attention à ma réputation. Aux yeux du monde, être une salope n'est pas bien. Mais alors, pourquoi j'ai envie d'en être une. D'où cela vient-il?

Je repousse cette idée dans ma tête. Et je me prépare à sortir pour faire quelques courses alimentaires pour le dîner. Je n'aime pas aller au supermarché car il y a toujours du monde et il y a toujours des files d'attente aux caisses. Donc, en espérant qu'il y ait moins de monde, je pars tôt le matin. En arrivant au magasin, je suis heureuse de voir qu'il est pratiquement vide à part quelques personnes âgées. Je pense qu'elles sont comme moi et qu'elles n'aiment pas la foule. Je saisis un caddy et me dirige entre les rayons, saisissant en passant les produits.

Je remarque un vieux monsieur, assez attrayant malgré son âge, qui jette de fréquents coups d'œil sur mon cul. Mal à l'aise, mes pensées d'avant reviennent et je remue mon derrière d'une façon provocante. Il écarquille les yeux, ne quittant pas mon gros cul du regard, tout en se léchant les lèvres. Je me sens salope et je commence à mouiller.

Je paie mes articles et me dirige vers la sortie. Je commence à remonter les deux pâtés de maison jusqu'à mon domicile. A mi-chemin, l'homme du supermarché arrête sa voiture à côté de moi et me demande si je veux qu'il me ramène chez moi. Je lui explique que je n'habite pas loin et que je peux faire le reste du chemin à pied. Il accepte ma réponse et démarre. En continuant de marcher, je me demande en pensée ce que j'aurai ressenti s'il m'avait léché la chatte ou le cul.

Arrivée à mon domicile, je le vois qui se tient devant mon immeuble. Je suis nerveuse de voir qu'il m'a suivi. Mais quand il me propose de m'aider avec mes bagages, il semble inoffensif. Nous marchons jusqu'à la porte. Quand je mets la clé dans la serrure, je vois dans le reflet de la porte vitrée qu'il lorgne mon cul. Alors, inconsciemment ou pas, lorsque j'entre et je monte les escaliers, je tord mon derrière de façon à l'allumer.

Nous entrons dans mon appartement. Il met les courses sur le comptoir de la cuisine tout en reluquant maintenant mes seins. Il lèche à nouveau ses lèvres. Je lui demande s'il souhaite boire quelque chose. Il choisit du thé donc je lui demande de s'asseoir au salon le temps que je le prépare. Je suis nerveuse et je tremble. Effaçant mes vilaines pensées, je retourne au salon avec la boisson et quelques biscuits.

  • Vous vous asseyez avec moi? Me demande-t-il.

  • Bien sûr. Dis-je en m'asseyant.

Nous parlons un peu. Il me dit qu'il s'appelle Walter, qu'il a 65 ans et qu'il est veuf. Il a eu deux e n f a n t s qui habitent très loin donc il est seul maintenant. Un silence gêné s'installant entre nous, je décide d'allumer la télé, sans me rappeler que la veille j'ai regardé un film porno. Celui-ci démarre aussitôt. Je saisis la télécommande pour éteindre le lecteur DVD mais il m'arrête en me demandant :

  • Laissez s'il vous plaît.

Je lui obéis et nous commençons à regarder le film. Je suis nerveuse mais aussi bien excitée, me demandant ce qui va se passer avec ce vieil homme. Sur l'écran, un homme traite une femme de salope et la baise v i o l e m m e n t. Je m'aperçois que l'entrejambe de mon visiteur commence à gonfler. Je me rends compte qu'il doit avoir une grosse bite. A ma grand surprise, Walter sort sa queue et commence à la caresser en regardant la télé. Je suis tellement choquée que je reste silencieuse et immobile, ne sachant pas que faire.

  • Pourquoi ne caressez-vous pas votre chatte comme vous avez dû le faire la nuit dernière. Dit Walter, brisant le silence entre nous.

  • Je ne peux pas le faire alors que vous êtes là

  • Pourquoi pas bébé? Je caresse bien ma grosse queue alors que tu es là.

  • Je ne peux pas. Désolée. Et peut-être devriez-vous partir.

  • Il est évident que tu le veux.

  • Ah bon? et je veux quoi?

  • Tu veux être traitée comme une salope, comme la femme dans le film.

  • Ce n'est pas vrai. Dis-je tout en sachant que je mens.

  • CARESSE TA CHATTE SALOPE!

Cet ordre me fait mouiller alors je fais ce qu'il m'ordonne. J'ouvre mon jean, met ma main dans ma culotte et commence à titiller mon clitoris. Il se tourne pour me regarder et m'ordonne :

  • Enlève ton jean salope!

Trop excitée, j'obéis à ses exigences. Je me lève et laisse tomber mon jean sur le plancher. Il ajoute :

  • La culotte aussi salope.

La culotte suit le jean. Je les écarte du pied et je me rassois. J'écarte les jambes largement et je commence à caresser ma chatte déjà bien humide.

  • Oui salope, caresse toi.

Obéissante, je regarde le film avec lui. Pendant que je me caresse, Walter tend la main pour m'attraper un sein, le malaxer et pincer le mamelon dur. Je suis tellement excitée que je le laisse faire.

  • Tu aimes ça salope?

  • Oh oui c'est bon.

Il commence à claquer mes seins en me traitant de noms dégradants tout comme dans le film. Émoustillée, je ressens le besoin d'être baisée. Il le comprend et continue à me taquiner. Il gifle mes seins et pince mes mamelons pendant que je continue à branler mon clito.

  • Doigte-toi salope!

  • Aimez-vous me regarder faire ce que vous voulez ?

  • Tu es une sacrée pute.

  • Voulez-vous baiser ma chatte?

  • Oh oui sale chienne. Je vais baiser ta chatte humide ainsi que ton gros cul et ta bouche de salope.

  • Non pas mon cul s'il vous plaît. Demandé-je en commençant à avoir peur.

  • Pas maintenant salope. Mais viens me sucer.

Je sors de mes pensées la sodomie promise en me disant que ce ne sont que des paroles en l'air sûrement. Je me mets à genoux devant lui et je commence à lécher son membre tendu de haut en bas lentement. Cela ne lui convient pas. Il m'attrape par les cheveux et baisse ma bouche sur sa queue.

  • Arrête tes conneries et suce!

Je prends sa grosse bite dans ma bouche et je suis étouffée quand il pousse ma tête plus bas. Il est évident qu'il aime me voir dans cette position car il continue à vouloir enfoncer sa bite encore plus au fond.

  • Voilà salope, prend tout

Il se lève et saisit ma tête par les côtés. Il commence à baiser ma bouche v i o l e m m e n t et rapidement, tout en m'insultant. Je mouille encore plus. Je suis tellement excitée maintenant que je ne me soucie pas qu'il veuille me baiser par tous mes trous. Je veux être utilisée. Puis, il m'ordonne d'aller dans la chambre et de me mettre à quatre pattes sur le lit.

Alors que je me mets en position, il commence à fesser mon cul, me disant que je suis sa pute personnelle et que je dois faire ce qu'il exige. J'approuve tandis que, soudainement, il entre trois doigts dans ma chatte.

  • Tu aimes salope?

  • Oh oui j'aime.

  • J'ai l'impression que tu en veux plus?

  • Oui s'il vous plaît, encore plus.

Il glisse un quatrième doigt dans mon vagin, l'élargissant. Je commence à pomper ses doigts comme s'ils étaient une bite. Pendant ce temps, avec son autre main, il fesse mon cul me disant que je suis maintenant sa propriété, qu'il me possède. Dans mon excitation, j'en conviens, ne sachant pas encore ce que ça impliquerait.

  • Je pense qu'il est temps que ta chatte soit remplie avec une bonne grosse bite.

Se tenant au bord du lit, il me tire par les hanches jusqu'au bord. Puis il glisse sa queue bien dure à l'intérieur de mon vagin. Je gémis d'extase.

  • C'est bien ce que tu veux sale pute?

  • Oh oui c'est si bon d'avoir votre queue en moi. Baisez-moi profondément.

Son membre est beaucoup plus gros et dur que ce que j'ai déjà connu. Je le sens bien en moi. Il m'attrape par les cheveux et me pistonne durement jusqu'à ce que je jouisse bruyamment. Alors que je me remets de mon orgasme, il retire sa queue de mon vagin et la positionne sur mon petit trou du cul serré. Je ne proteste pas et je le laisse violer mon anus. Cela me fait mal au début mais ça ne dure pas, je commence à profiter de cette sodomie.

  • Je savais que tu aimerais ça salope.

  • Oui. Enculez-moi.

  • Quel beau petit cul bien serré de chienne.

Il me baise v i o l e m m e n t, alternant mon cul et ma chatte jusqu'au moment où il lâche son sperme chaud tout au fond de mon cul. Ayant terminé, il recule et se rhabille. Il m'explique que maintenant mes trous sont sa propriété et qu'il ne cherche pas autre chose que du sexe. C'est parfait pour moi qui ne cherche pas autre chose. Alors j'accepte.

  • Bon, je reviendrai vers 18h00 pour te baiser à nouveau. Sois nue et prête.

  • Je vous attendrai.

Il se dirige vers la porte et il part. Épuisée, je décide de dormir une petite heure. Lorsque je me réveille il est déjà 17h00. L'esprit embrumé, je me rappelle que je dois me préparer pour la bite à Walter. Alors, je saute dans la douche, me rase la chatte déjà presque lisse. Puis je m'assois dans le canapé pour attendre. Assise complètement nue, j'ai envie de me caresser mais je décide d'attendre Walter.

Je sursaute lorsque la sonnette retentit. Je me lève et vais ouvrir la porte. Walter entre et, alors que je commence à fermer la porte, un autre homme le suit. Ils vont dans le salon. Ne sachant que faire, je me tiens immobile près de l'entrée.

  • Viens ici chienne. Viens dire bonjour à mon ami Jim.

Essayant de me couvrir avec mes mains, je gagne le salon et je dis bonjour à l'ami de Walter.

  • Arrête d'essayer de cacher ton corps et vas t'asseoir sur les genoux de Jim.

J'obéis et je fais ce qu'il me dit. Immédiatement les mains de Jim sont sur mes seins, pinçant mes mamelons tout en disant à Walter que je suis une vraie pute. Ils continuent à parler de moi comme si j'étais absente, me donnant des noms vulgaires, Walter racontant ce qu'il m'avait fait. Jim trouve ma chatte et commence à me doigter tandis que son ami caresse sa bite.

  • Dis salope? tu aimes que Jim te doigte?

  • Oh oui c'est bon. Ne vous arrêtez pas Jim.

  • J'ai l'impression que tu es une vraie salope qui a besoin d'être bien baisée.

  • Oh oui, j'ai besoin d'une bite en moi. J'ai besoin d'être baisée.

Walter se lève et laisse tomber son pantalon. Puis il f o r c e sa queue dans ma bouche. Il ne force pas beaucoup car j'avale goulûment son membre et je le suce comme une vraie pute. Les doigts de Jim dans ma chatte et la bite de Walter dans ma bouche, je suis au septième ciel. Je veux que ces hommes utilisent mon corps comme ils le veulent. Je veux sentir leurs deux bites profondément enfoncées en moi. Je veux me sentir pute.

Walter m'attrape par les cheveux pour me relever puis il me jette la tête première dans le canapé. Il me fait mettre à genoux, le visage sur l'accoudoir, les fesses en l'air. Les deux hommes approchent et me doigtent le cul et la chatte. Je gémis et je les supplie. Je ne peux pas croire que je leur demande de m'utiliser. Mais qu'importe je veux de la bite.

Walter est le premier à s'introduire dans ma chatte. Jim vient en face de moi et je prends sa queue raide dans ma bouche. Ils me baisent des deux côtés en me traitant de pute. Je profite de chaque seconde. Je suis traitée comme une chienne mais c'est ce qu'il me faut. Ils commutent. Maintenant la bite de Jim est dans ma chatte alors que celle de Walter est dans ma bouche.

  • Allez salope, nettoie ma bite de ton jus.

Tout ce que je peux faire c'est de gémir sur sa queue tandis que Jim me pilonne. Se lassant de me baiser ainsi, Walter m'ordonne de me lever. J'obéis. Jim s'assoit sur le canapé et Walter me demande de le chevaucher. Je monte donc à califourchon sur Jim et je guide sa vieille bite bien raide dans mon vagin et je commence à monter et descendre dessus. Mes seins rebondissent devant son visage. Il attrape un mamelon avec sa bouche et il le suce brutalement.

Je suis si bien, que je comprends que Walter vient derrière moi seulement quand je sens sa queue se présenter à l'entrée de mon cul encore serré. Il s'introduit lentement en me traitant encore de sale pute. Pour confirmer cet état je continue à monter et descendre le long de leurs engins. Ils me baisent ainsi pendant un long moment puis ils éjaculent ensemble dans ma chatte et dans mon cul. Ayant fini, ils me jettent sur le côté puis ils s'habillent et se préparent à partir.

  • Je reviendrai quand j'aurais envie d'utiliser ces trous. Dit Walter en se retournant avant de sortir.

Hier, je ne savais pas exactement ce qu'il me fallait. Aujourd'hui, je suis la pute de Walter et je suis utilisée en tant que telle, sans autres relations. Parfait.


Cela fait déjà deux semaines que Walter et son ami m'ont utilisée. Je commence à être frustrée sexuellement donc je joue avec ma chatte chaque fois que je rentre chez moi. C'est vendredi soir. Je me douche et je me prépare à me détendre en jouant un peu avec mon sexe. Mais la sonnette de la porte retentit. Je me lève et cours à la porte, pensant que c'est Walter venant me baiser.

J'ouvre la porte, et, à ma grande déception, je vois mon gros et vieux voisin d'à côté. Ce type est laid et en surpoids. De plus, il n'essaie pas de cacher son côté de vieux sadique.

Il n'est même pas agréable quand il me demande si je connais les ordinateurs. Honnête, je réponds oui. Alors il me demande de venir voir le sien pour le réparer. Il est si grossier que je devrais fermer la porte sur sa figure. Mais je le suis à côté, ayant pour seul vêtement mon peignoir.

Nous allons dans son appartement puis dans sa chambre où se trouve son ordinateur. Je m'assois sur la chaise et essaie d'allumer le PC mais rien. Je vérifie la prise et je me rends qu'il n'est pas branché. Je commence à être nerveuse, me doutant qu'il l'avait fait exprès. Puis il mentionne le site « récits érotiques ». Je me fige et je lui demande ce qu'il sait sur ce site.

  • Eh bien, j'aime lire des histoires de petites grosses.

  • Faites-moi voir de quoi vous parlez.

Il sortit une histoire intitulée « Boulotte soumise pour vieux messieurs ». J'avais écrit cette histoire et j'espérais qu'il ne le sache pas. Au même moment, il clique sur le profil de l'auteur et une photo de moi apparaît.

Bien sûr qu'il sait qui a écrit l'histoire. Voilà pourquoi il me fait venir chez lui. Je lui dis que je suis déjà à quelqu'un. Mais il me répond qu'il s'en fout et qu'il me veut quand je suis seule. Il me fait asseoir et clique sur le récit. Il le lit à haute voix, tout en se tenant derrière moi. En même temps il glisse ses mains vers le bas et commence à jouer avec mes seins.

  • Veux-tu que j'utilise ta chatte? Chuchote-t-il dans mon oreille.

  • Non, s'il vous plaît, ne me faites rien. Suppliais-je.

  • Tu ne sais pas ce que tu veux salope! Crie-t-il en pinçant si fort mon mamelon que je pousse un cri de douleur.

  • Non, je ne veux rien faire avec vous.

  • Il est trop tard sale pute.

  • S'il vous plait, laissez-moi rentrer chez moi.

  • Tu feras ce que je dirais salope. Ou alors je montrerai tes petites histoires à tout l'immeuble.

Je sais que je n'ai pas le choix. Je vais devenir la pute de ce laid et gras vieux bonhomme. Cela me dérange et m'excite en même temps. Suis-je vraiment une pute qui a besoin de bites? Je réponds à ma question quand le vieux me saisit pas les cheveux et force ma bouche avec sa queue. Je l'avale complétement comme une putain.

  • C'est ça salope, prend tout.

Il continue à lire l'histoire à haute voix tout en baisant ma bouche. Quand il arrive au passage parlant des deux vieux m'utilisant en même temps, il me nargue à ce sujet :

  • Donc tu aimes être baisée par deux bites en même temps salope?

  • Non s'il vous plait, juste vous. Dis-je en retirant la bite de ma bouche.

  • Eh bien je dirai à mon fils de venir le prochain week-end, il ressemble à son père. Dit-il en riant.

  • Non non. Murmurais-je la queue dans ma bouche.

  • Tais-toi et vas t'allonger à poil sur le lit.

J'obéis en laissant tomber mon peignoir et en m'allongeant sur le lit tout en essayant de cacher mon corps avec mes mains. Mon voisin laisse tomber son bas de survêtement sale, révélant sa petite bite sous son ventre énorme. Puis il enlève sa chemise et je peux voir sa poitrine velue.

Quand il s'approche, je veux fuir. Mais j'ai tellement peur que je veux seulement faire ce qu'il désire puis sortir de chez lui.

Il se met à côté de moi et saisit mes seins pour les malaxer, les serrer et pincer durement les tétons. Je commence à mouiller.

Il mordille mes mamelons en glissant sa main vers ma chatte. Il me dit que je suis vraiment une pute pour mouiller ainsi. J'écarte les jambes. Il m'explique comment il va me baiser comme une cochonne tant qu'il le veut.

Je suis si excitée que je lui dis que j'accepte d'être sa cochonne. Si bien que lorsqu'il m'ordonne de grogner comme un cochon, je le fais sans hésitation.

Cela l'excite totalement si bien qu'il me retourne brutalement sur le ventre et relève mon derrière. Puis il pénètre ma chatte humide et me pilonne durement et rapidement, me faisant crier.

Il y a peu de temps, je demandais à cet homme de me laisser tranquille et maintenant je le supplie de me baiser comme la pute que je suis. Quand il commence à fesser mon cul, je jouis immédiatement, couvrant sa bite de mon jus chaud.

  • Oh quelle cochonne!

  • Oh mon dieu oui. Oui Oui je suis votre cochonne.

  • Et maintenant je crois qu'il est temps de baiser le cul de la cochonne.

  • Oui oui baisez moi.

  • Hein salope, tu aimes les bites dans ton cul?

  • Oui oui j'aime les bites dans tous mes trous.

Il m'encule et me traite de sale cochonne jusqu'au moment où je sens qu'il décharge dans mon gros cul. Après s'être vidé complétement, il donne une grande claque sur mon cul et me dit de rentrer à la maison.

Je me sens bien et j'ai aimé. Revenue à mon appartement, je prends une nouvelle douche. Je ne peux m'empêcher de penser à ce que je suis devenue. Le vieux pervers d'à côté peut m'utiliser quand Walter n'est pas là. Je peux avoir toutes les bites dont j'ai besoin. Ces relations sans attaches me conviennent. Me faire baiser et rentrer à la maison, je voudrais avoir commencé depuis longtemps.

Il est 23h00 et je suis en train de regarder la télé lorsque la sonnette de la porte retentit encore. Fatiguée, je me lève et j'ouvre la porte en espérant que peut-être je pourrais être baisée à nouveau. Walter est là avec deux autres vieux que je ne connais pas. Il me pousse et entre. Ses amis le suivent. Ils vont s'asseoir dans le salon. Je ferme la porte sachant que je vais être baisée par les trois.

J'entre dans le salon et leur propose une boisson. Ils veulent des bières. Après leur les avoir amené, Walter me demande de venir s'asseoir entre lui et un de ses amis sur le canapé. Je lui obéis. Il enlève mon peignoir et écarte mes jambes. Il commence à jouer avec mon clitoris pendant que ses amis regardent et font des commentaires vulgaires. Walter m'explique comment la nuit va se passer et comment j’allais les servir avec tous mes trous.

Je sais ce que qu'il veut et ce que je veux. Je me mets à genoux et je prends la grosse bite de Walter dans ma bouche. Son deuxième ami s'assoit à ma place. Et pendant la prochaine heure je suce leurs trois bites à tour de rôle. Ils regardent le film porno que je possède. Il dit à ses amis que j'aime le sexe brutal et v i o l e n t comme dans le film.

Alors ils me jettent par terre comme une vulgaire poupée gonflable et ils se relaient dans ma bouche et dans ma chatte. Puis quand ils ont marre de ces deux trous, ils sodomisent mon gros cul. J'apprécie chaque minute de ce traitement dégradant, les suppliant de continuer.

Mais il est temps pour eux de remplir mes trous en même temps. Je suis très excitée car ça ne m'est jamais arrivée. Mais je suis volontaire. Je ne connais toujours pas les noms des deux autres hommes mais ils sont vieux et méchants c'est ce qui compte.

Je me mets à cheval sur l'un des hommes tandis que Walter glisse sa grosse queue raide profondément dans mon cul. Puis ils me pilonnent v i o l e m m e n t en rythme. Le troisième homme commence à me baiser la bouche. Je suis un morceau de viande à l'intérieur d'un sandwich d'hommes. Le ressenti est incroyable. Rien que l'idée de savoir que je ne suis qu'un jouet de baise pour ces vieillards fait mouiller ma chatte abondamment. Avec les insultes, les noms vulgaires qu'ils me donnent, et la baise v i o l e n t e, j'ai le plus gros orgasme que je n'ai jamais eu.

Ils se relaient dans tous mes trous. Puis quand ils sont prêts à jouir, ils me mettent à genoux et giclent leurs spermes sur mon visage. Puis, en m'ignorant complètement, alors que je suis à genoux sur le sol, mon visage dégoulinant de leur semence, ils s'habillent et quittent mon appartement.

Je suis tellement épuisée que j'ai à peine de l'énergie pour prendre une douche avant d’aller me coucher satisfaite et comblée.


Ce fut la première fois depuis longtemps que je dormis tard un samedi. Après avoir été utilisée et satisfaite, j'ai eu un sommeil de bébé.

Il est maintenant 10h00. Je mets de l'eau à bouillir pour prendre une tasse de thé et je saute dans la douche. Je dois faire quelques courses mais après j'aurais la journée pour ne rien faire, pour me reposer, j'en ai besoin.

Il est 14h00 et j'entre dans mon immeuble avec mes courses. Tandis que je déverrouille ma porte d'appartement, j'entends mon voisin obèse ouvrir la sienne. Je regarde et je vois sa tête hideuse qui aurait besoin d'un bon rasage.

  • Viens ici salope. Dit-il d'un ton très autoritaire.

  • Permettez-moi de mettre mes sacs dans mon appartement et je viens Monsieur.

  • Dépêche-toi salope. J'attends ton gros cul depuis le début de la journée.

  • Oui Monsieur, je suis désolée.

Je pose mes sacs sur le comptoir de la cuisine et je me dirige vers l'appartement du voisin. Je sonne à sa porte. Je l'entends crier de l'intérieur de venir et fermer la porte derrière moi. Je lui obéis et j'entre dans son salon. Comme je ne le vois pas, je continue jusqu'à sa chambre à coucher.

  • A poil salope! Je veux voir la grosse pute que je vais utiliser.

  • Oui Monsieur. Dis-je obéissante.

J'enlève mes habits et lorsque je suis nue, il commence à fouetter mon gros cul avec sa ceinture. Il exige aussi que je grogne comme un cochon. Ma chatte devient vite humide.

Quand mon cul est tout rouge, il arrête de le fouetter. Puis il glisse ses doigts dans mon anus et me pilonne. Quand il réalise que j'aime cette intrusion anale, il glisse deux autres doigts dans ma chatte humide. Il baise mes deux orifices avec ses doigts tout en m'insultant et me donnant des noms vulgaires. Il arrive même à me faire dire des choses dégoutantes sur moi-même. Il fait si chaud. J'ai besoin d'être baisée par une queue. Si bien que je le supplie pour qu'il me prenne.

  • S'il vous plait, baisez-moi avec votre bite.

  • Regardez cette grosse salope réclamer une queue.

  • Oui s'il vous plaît, je suis une sale pute. S'il vous plaît, baisez-moi.

  • Pas encore salope, j'ai une surprise pour toi.

  • Que voulez-vous faire? J'ai besoin de votre bite.

  • Ne t'inquiète pas salope, tu auras ma bite et beaucoup plus.

Je regarde ce vieil homme laid et obèse revenir vers moi avec un énorme gode dans sa main. Ma seule pensée est d'avoir ma chatte remplie avec cet objet. Pourtant, il force le gode dans ma bouche, m'allonge sur le lit, attrape mes jambes pour les relever et plante sa bite profondément dans mon cul. Puis il me baise violemment. Ma mouille fuit de ma chatte tandis qu'il me martèle. On peut voir dans son regard et ses grognements que je ne suis pas plus qu'un morceau de viande pour lui, un jouet dans lequel enfoncer sa bite lorsqu'il a envie. Mais je n'ai pas de problème avec ça. Il me faut être utilisée, dégradée.

  • Et si maintenant, j'enfonçais ce gode dans ta chatte de grosse salope?

  • Oh oui, oui.

  • Tu aimes salope?

  • Oh oui, je me sens vraiment pute.

  • C'est ce que tu es : une chienne, une sale pute.

  • Oui Monsieur. Baisez-moi.

  • Voilà comment nous allons t'utiliser avec mon fils quand il viendra, par les deux trous.

  • Oh oui, je vous veux tous les deux.

  • Il aime bien mon fils baiser des putes grassouillettes.

  • Oui je suis une grosse pute.

  • Une vraie salope, Un sac à foutre disponible pour moi chaque fois que je veux.

Sur ce, il décharge son sperme chaud tout au fond de mon cul. En même temps je jouis et inonde le gode avec mon jus.

Après avoir fini, il se retire et me demande de dégager, ayant fini avec moi pour le moment. Je m'habille. Quand je remonte mon jean, je peux sentir son sperme s'évader de mon cul. Puis je retourne chez moi et je me dirige vers la douche.

Ma chatte et mon cul sont un peu douloureux du traitement de ces derniers jours. Mais la douche chaude me fait du bien. Je suis à peine séchée que ma sonnette retentit. Je suis tellement fatiguée que je pense l'ignorer. Mais un picotement au fond de mon sexe me pousse à aller ouvrir. Derrière la porte, se trouve Walter avec une femme d'environ 55 ans. Elle n'est pas belle et a l'air agressive et sévère.

  • Bonjour Walter. Entrez.

  • Bonjour salope. Dit-il en passant devant moi.

  • Bonjour salope. Dit la femme sévère.

Je l'ignore et ferme la porte. Puis je les suis dans mon salon. Walter va dans la salle de bain et me laisse seule avec la femme. Immédiatement elle me tire sur le canapé et commence à me tripoter les seins, en me disant qu'elle veut utiliser ma chatte.

  • Je suis désolé mais je ne suis pas attirée par les femmes. Dis-je nerveusement.

  • Tu n'as pas besoin d'être attirée par moi salope.

  • Je ne peux pas faire ça, s'il vous plaît.

  • Tu feras ce que nous ordonnerons. N'oublie pas que tu m'appartiens. Dit Walter en revenant.

  • S'il vous plaît. Je n'ai jamais rien fait avec une femme auparavant.

  • Tais-toi salope et obéis à Sandy.

Je regarde la femme. Elle saisit mes seins et elle les serre fort. Puis elle pince mes mamelons qui durcissent instantanément. Je ferme les yeux en essayant d'ignorer que cette femme vicieuse me fait mouiller. Elle glisse sa main vers ma chatte humide et elle commence à titiller mon clitoris. Walter s'approche, m'attrape par les cheveux et fourre sa bite dans ma bouche. Je prends cette queue comme la prostituée morte de faim que je suis en train de devenir. Sandy écarte mes jambes, se met à genoux et lèche mon clito gonflé. Cela n'a plus d'importance que ce soit une femme qui m'apporte du plaisir. Je leur laisse faire ce qu'ils veulent.

  • Je dois baiser cette chienne Sandy. Mettons là dans la chambre.

  • Est-ce que je pourrais la baiser aussi? Demanda Sandy en laissant tomber son pantalon pour montrer une grosse queue en plastique attachée par une sangle.

  • Bien sûr, nous allons bien en profiter de cette grosse salope.

  • Lève-toi et vas dans la chambre salope.

J'obéis, mouillée et prête à être utilisée durement. Je monte sur le lit. Sandy passe derrière moi et commence à claquer mon gros cul. Pendant ce temps, Walter glisse deux doigts dans mon anus. Je me sens de plus en plus comme une pute, surtout après avoir été baisée par le gros voisin. Maintenant je me soumets à une femme sévère. Le plaisir augmente en moi.

Sandy arrête sa fessée puis se place derrière moi avec son gode et elle le plante dans ma chatte humide. Je crie à cette intrusion brutale mais Sandy claque violemment mes fesses en me disant de la fermer comme une bonne pute.

  • Est-ce que tu sais ce que tu veux sale chienne. Crie Sandy.

  • Baise cette salope. Rajoute Walter.

Sandy considère qu'elle m'a assez utilisée dans cette position et se retire. Elle et Walter grimpent sur le lit de chaque côté de moi. Je me tourne sur le côté en face de Sandy et je la regarde droit dans les yeux quand elle plonge son gode ceinture dans mon sexe. Walter, de son côté, enfourne sa vieille bite bien dure au fond de mon cul. Ils me ramonent v i o l e m m e n t en rythme et je demande toujours plus. Puis vient l'orgasme le plus intense que je n'ai jamais eu.

Alors que je me remets, ils me tournent de l'autre côté, face à Walter. Je sens le gode ceinture pénétrer mon trou du cul. par pur désir, je pousse mon cul dessus en disant :

  • Oh oui, sodomisez moi avec votre engin s'il vous plaît.

  • Tu aimes salope? Demande Walter.

  • Oh oui j'aime. Ne vous arrêtez pas s'il vous plaît.

Sur ce, Walter introduit sa bite au fond de ma chatte et ils recommencent à me marteler en rythme pour me donner ce que je désire. Ils me baisent sans douceur, m'insultant de tous les noms. Je jouis de nouveau, mon jus inondant la queue de Walter qui ne peut se retenir d'éjaculer dans mon ventre. Puis il se retire et, juste pour son plaisir, regarde Sandy m'enculer.

  • Je pense qu'il est temps pour cette salope de te faire plaisir Sandy.

  • Oui je crois que je vais aimer. Répond Sandy.

  • Tu es prête à sucer une chatte salope? Demanda Walter.

Avant que je ne puisse répondre, la femme pose sa vielle chatte sur mon visage. Je commence donc à faite tout ce qu'une bonne salope ferait, je lèche sa chatte. Elle se penche en arrière et promène son sexe sur ma figure tandis que Walter recommence à doigter ma chatte.

  • Elle aime ta chatte Sandy.

  • Allez salope, suce mon clito.

  • C'est réellement une salope qui ne demande qu'à être baisée.

Sandy est vraiment excitée maintenant et elle est sur le point de laisser son jus couler sur mon visage. Elle a son orgasme et j'avale chaque goutte de sa jouissance. J'aime ça. Walter sait exactement comment j'aime être utilisée, mon gros voisin laid aussi.

Lorsque Walter et Sandy en ont fini de moi, ils me roulent sur le côté comme une poupée de chiffons et ils se rhabillent. Ils ne me disent pas un mot, je ne suis rien d'autre qu'un jouet sexuel pour eux. Cette pensée me fait mouiller à nouveau.

Encore sous la douche, je me demande ce que me réserve l'avenir. En tout cas j'espère être encore souvent baisée. Je suis devenue accro à ces moments de sexe brutaux où on abuse de moi sans se soucier de mes états d'âme.

FIN

NYCbbw

Superbe histoire j'aime merci pour le partage .
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